Un homme a été retrouvé pendu dans un hall de l’usine Dacia de Mioveni. Détails !

Le défunt, un homme dans la cinquantaine, travaillait chez Automobile Dacia depuis 1995. Il s’appelle MARIAN GABRIEL BLOI et il travaillait dans le département Body. Il vivait à Mioveni et avait trois enfants, deux filles et un garçon, sa fille aînée lui avait également donné un petit-fils.

La police et l’ITM mènent actuellement une enquête afin de déterminer les motivations de la personne concernée et, plus particulièrement, les circonstances qui ont pu se dérouler à l’intérieur de l’usine. À l’heure actuelle, les force de l’ordre de la ville de Mioveni n’a pas publié de déclaration sur l’incident, mais nos sources disent qu’il a peut-être laissé un mot d’adieu dans sa poche.

Sur un autre registre, rappelons que Dacia risque de faire l’objet d’une poursuite judiciaire, suite à un nombre important de plaintes pénales déposées par plusieurs propriétaires de véhicules Dacia.

Cette plainte dénonce des pratiques frauduleuses et trompeuses de la part des constructeurs, mettant en danger la vie des individus et entraînant d’importantes détériorations. Elle est déposée par Me Christophe Lèguevaques, avocat au barreau de Paris, et représente actuellement 1 782 personnes. Les plaignants se focalisent sur le moteur 1.2 TCe, qui équipait environ 400 000 véhicules entre octobre 2012 et juin 2016, et qui présente des problèmes de surconsommation d’huile, d’usure prématurée, voire, dans certains cas graves, de casse du moteur. Cette problématique touche plusieurs modèles du groupe, tels que le Dacia Duster, la Lodgy, la Renault Captur, la Clio IV, la Kadjar, la Mégane 3, la Scenic 3, la Nissan Juke et le Qashqai. À noter qu’un groupe Facebook compte actuellement plus de 7 000 victimes en France, avec des groupes similaires en Angleterre, en Belgique et en Espagne.